jeudi 17 février 2011

Bruegel et Cie

Je viens d'écrire trois pages de divagations.  C'était
mon exercice d'écriture automatique, j'y tiens chaque
jour. L'effet de cet exercice: ça me rend fou. Quand
je quitte cet exercice, faut que je me retienne:  je serais porté à dire n'importe quoi, n'importe comment,  et ce blog n'est pas la place pour du n'importe comment, vu qu'on n'est pas n'importe où.  (À l'époque de mon enfance, les gens disaient: ¨n'importe éoù¨)

Hier soir, j'ai pris de l'avance, pour trouver quel dessin j'irais mettre dans ce blog.  J'en ai trouvé
une série qui avaient de la couleur, à ma surprise.
Je ne me souvenais pas d'avoir fait une série colorée.

Je n'ai pas de nom pour ce dessin, et pour le moment il n'y a pas d'histoire qui l'accompagne.  C'est encore un dessin sans histoire et sans nom. On peut dire que
ce dessin n'a pas trouvé son destin. Ou bien, dont le destin était justement de se passer d'histoire.

Chacun de nous tient à son nom et à son histoire.
On ne s'en passe pas.

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